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Faits saillants jusqu'à présent:
- Il n'existe pas de corrélation entre le dépôt de protéine et le dépôt de cendres comme actuellement modélisé (ex. InraPorc, NRC), et ce, notamment en finition.
- Un premier modèle a été développé dans le cadre de ce projet et est proposé pour estimer les besoins en phosphore (P) et calcium (Ca) pour un objectif de minéralisation donné.
- Pour une minéralisation optimale, les besoins en P estimés par le modèle proposé sont inférieurs au besoin estimé par le modèle INRA (6 %) pour 100 % de la minéralisation et le modèle NRC (7 %) pour 85 % de la minéralisation entre 29 et 98 kg de poids vifs et supérieur (17 %) pour les autres poids.
- Les différences observées entre le modèle actuel et les modèles de l’INRA et du NRC sont dues à la structure du modèle qui simule l'os indépendamment de la protéine, le premier évoluant linéairement avec le poids tandis que le second suit une fonction de Gompertz.
- Le ratio Ca/ATTP-P augmente de façon curvilinéaire en fonction du poids variant de 2.2 à 2.6, donc un ratio Ca/P non fixe pourrait être envisagé pour maximiser la minéralisation osseuse.
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Faits saillants:
- Chez le poulet :
- L'avoine nue montre un contenu en énergie digestible significativement plus élevé que le seigle d'automne conventionnel, le seigle hybride, le triticale et le blé d'automne.
- Le seigle Bono montre un contenu en énergie digestible significativement plus bas que le seigle d'automne conventionnel, l'avoine nue, le triticale et le blé d'automne.
- Chez le porc :
- La teneur en énergie digestible est plus élevée pour l’avoine nue (3937 vs 3358 kcal/kg, P<0,001) en comparaison aux autres variétés de céréales. Ceci peut s’expliquer par la teneur plus élevée en énergie brute (4252 vs 3358 kcal/kg, P<0,001) et à une meilleure digestibilité iléale apparente de l’énergie brute (92,6 vs 88,7%, P<0,001).
- La digestibilité iléale apparente de la protéine des seigles est plus faible (73,2 %, P<0,001) que celle du triticale (80,7 %), du blé (82,3 %) et de l’avoine nue (86,1 %).
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Faits saillants du projet
- La contamination des aliments par le DON diminue la croissance et la prise alimentaire alors qu’elle augmente la minéralisation osseuse chez les porcelets après 21 jours
- L’ajout de vitamine C et E à l’aliment contaminé au DON a réduit la minéralisation osseuse à un niveau intermédiaire bien que la supplémentation en vitamine D, E et C n’a eu aucun impact sur les performances de croissance.
Les résultats de ce projet sont les premiers établissant un lien entre le DON et le métabolisme des vitamines, plus précisément sur la vitamine D. La vitamine D joue un rôle dans plusieurs métabolismes incluant celui du Ca et du P. En effet, la vitamine D intervient dans l’absorption intestinale du Ca et du P ainsi que dans le métabolisme osseux.
Cette étude a ainsi permis d’établir l’existence d’un lien entre la vitamine D, le métabolisme phosphocalcique et la contamination au DON qui nécessite de plus amples études. Également, la modification du statut oxydatif et de la réponse inflammatoire par le DON a été confirmée. Enfin, l’effet anti-inflammatoire de la vitamine D est confirmé en réponse à l’injection de LPS et la contamination au DON.
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Faits saillants :
- En période de croissance, le modèle actuel (Hauschild et al., 2012) utilisé pour l’alimentation de précision maximise le dépôt protéique, le gain moyen quotidien et la rétention azoté, l’apport moyen en Lys DIS étant 27% moins élevé que les recommandations du NRC (2012)
- En période de finition, une augmentation de l’apport en Lys DIS de 10% a résulté en une augmentation du dépôt protéique et de la rétention azotée, démontrant le besoin de valider les besoins pour cette période de croissance.