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Faits saillants jusqu'à présent :
- Le contenu minéral osseux évolue de façon indépendante du contenu en protéines chez les porcs nourris au besoin.
- Le dépôt de protéines semble insensible aux apports de minéraux dans les aliments alors que le dépôt de minéraux dans les os est fortement affecté par les apports phosphocalciques.
- Le dépôt de contenu minéral osseux (CMO) ne peut donc pas être prédit en fonction de celui des protéines.
- Le modèle actuel permet d'estimer le phosphore digestible considérant les formes de phosphore alimentaire, le calcium et la phytase.
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Faits saillants du projet
- La contamination des aliments par le DON diminue la croissance et la prise alimentaire alors qu’elle augmente la minéralisation osseuse chez les porcelets après 21 jours
- L’ajout de vitamine C et E à l’aliment contaminé au DON a réduit la minéralisation osseuse à un niveau intermédiaire bien que la supplémentation en vitamine D, E et C n’a eu aucun impact sur les performances de croissance.
Les résultats de ce projet sont les premiers établissant un lien entre le DON et le métabolisme des vitamines, plus précisément sur la vitamine D. La vitamine D joue un rôle dans plusieurs métabolismes incluant celui du Ca et du P. En effet, la vitamine D intervient dans l’absorption intestinale du Ca et du P ainsi que dans le métabolisme osseux.
Cette étude a ainsi permis d’établir l’existence d’un lien entre la vitamine D, le métabolisme phosphocalcique et la contamination au DON qui nécessite de plus amples études. Également, la modification du statut oxydatif et de la réponse inflammatoire par le DON a été confirmée. Enfin, l’effet anti-inflammatoire de la vitamine D est confirmé en réponse à l’injection de LPS et la contamination au DON.
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Faits saillants :
- En période de croissance, le modèle actuel (Hauschild et al., 2012) utilisé pour l’alimentation de précision maximise le dépôt protéique, le gain moyen quotidien et la rétention azoté, l’apport moyen en Lys DIS étant 27% moins élevé que les recommandations du NRC (2012)
- En période de finition, une augmentation de l’apport en Lys DIS de 10% a résulté en une augmentation du dépôt protéique et de la rétention azotée, démontrant le besoin de valider les besoins pour cette période de croissance.
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Faits saillants :
- La granulation permet d’améliorer la digestibilité iléale et totale des nutriments dans des rations riches en fibres comportant des coproduits fréquemment retrouvés à l’Est du Canada. L’effet est cependant plus marqué dans une ration conventionnelle à base de maïs et de tourteau de soja.
- L’ajout de xylanase aux rations comportant des coproduits, comme de la drêche de maïs et du remoulage de blé, présente peu d’intérêt dans l’optique d’une amélioration de la digestibilité iléale apparente et de la digestibilité totale apparente.
- La granulation peut réduire la variabilité de la digestibilité occasionnant ainsi une bonne digestibilité des régimes alimentaires même si les ingrédients sont de qualité ou d'origine différentes.
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Faits saillants jusqu'à présent
- Les équations de prédiction de la composition chimique corporelle en protéines, lipides, calcium et phosphore lors de l'utilisation d'un ostéodensitomètre (DXA scan) permet de prédire la composition corporelle des poulets de chair âgés entre 7 et 35 jours avec exactitude
- Le facteur de rétention en phosphore de la poulette est de 6,6 g P/kg de gain et celui de la poule pondeuse est de 4 g P/kg de gain
- Le facteur de rétention de l'oeuf est de 1,8 g de phosphore/kg
- Le bilan alimentaire est une méthode fiable pour établir la production de phosphore d’un lieu d’élevage de poulettes ou de production d'oeufs de consommation. Il est toutefois impératif de bien établir la teneur en phosphore des aliments pour assurer une valeur de rejets en phosphore la plus exacte possible car ce critère est le plus sensible.